Vel Cheran a écrit :De noisettes, plutôt, non ?

Allez Macros, on croit en toi !
Chuuuuuut, les dryades vont t'entendre!
Ahem.
Sur ce, voici un résumé un peu plus épais de mes actions d'aujourd'hui... Pas grand chose, mais bon, on progresse... Spellhold ne devrait plus tarder (j'ai la prétention de penser que l'antre de Bodhi devrait être une formalité, vu l'équipe, et surtout le PJ.)
Jour 13:
Le retour à Athakla fut marqué par un psychodrame familial. Apparemment, pour la famille d'Anomen, ca n'était pas la grande forme: la soeurette morte, le père alcolo un tantinet agacé. Notre vailant, mais casse pied compagnon, sse trouvait face à un dilemme moral. Fort heureusement, guidé par l'esprit omniscient de Torm qui sait tout, je fus en mesure de le guider vers le droit chemin.
-Charname, que dois-je faire? Me venger ou faire comm si il ne s'était rien passé.
-Laisse moi voir. Si tu oublies toute cette histoire, tu gagnes 2 points de sagesse, des xp de quête, et tu peux crâner en rajoutant Sire à ton nom. Hélas. Si tu te venges, tout ce que je gagne, c'est un équipier dysfonctionnel qui cherchera à tout prix les embrouilles avec Keldorn et Aerie. Dur...
Ma sagesse infine ayant réglé le problème, nous pûmes nous rendre aux quartiers du Coeur Radieux, histoire de recevoir mes premières missions de palouf. Noël avant l'heure! Néanmoins, le début de conversation jetta un froid entre moi et le responsable.
-Dites, si la punition pour avoir massacré cinq de vos écuyers, c'est d'être inégré à l'ordre, qu'est ce qu'on gagne si on tue le prélat?
Pfff, tu poses une question, et tout à coup, t'as plus l'esprit d'équipe, qu'ils disent. Enfin, je dois immédiatement me rendre en route pour les Collines d'Umar,ou il parait que c'est la grosse baston. E fait, je sais pas si c'est si urgent, mais je prend pas le risque.
Jour 14
Notre compagnie arriva en renforts. Pour tomber de haut. Quand on me parle de bataille, je m'attends à des effectifs décents de chaque coté! En fait, notre seule présence suffisait à apporter la supériorité numérique à notre camp. Je suis sûr que la fameuse bataille d'Umar, qui opposa dix clampins à douze péquenots, restera longtemps dans les mémoires. Bon, bah, maintenant, on rentre, hein...
Jour 15
On se fout de ma gueule. A peine rentré, ils me renvoient là bas. Qui est ce qui a conçu le planning, dites moi? Le Taylorisme , le Fordisme, apparemment, tout ça leur est passé par dessus la jambe. Enfin, quand faut y aller...
Jour 16
Ca s'enchaine vite, les journées, tout à coup... Bon, l'affaire était une sombre histoire de fermiers et de baron. Mon sens de la diplomatie que l'uniers entier m'envie eut une nouvelle fois l'occasion de s'illustrer: on tue le baron, et plus de problèmes! Je commence à penser que ceux soutenant la thèse du paldin = loyal con ont peut être raison sur certains points... Par contre, il fallut passer la nuit à l'auberge, mon groupe menacant de se mutiner si on reppartait directement pour la ville.
Jour 17
Nouveau rêve, cette fois à propos d'Imoen. Déjà plus agréable que ceux à propos de l'autre taré maniaque de la double désintégration dans ta face. Le retour à Athakla fut paisible, comme d'habitude, et l'occasion d'accomplir ma troisième tâche, à savoir protéger une jeune demoiselle d'assassins dangereux et méchants. Il me fallut néanmoins tout mon self control pour ne pas leur épargner la peine de la tuer en le faisat moi même. Mais la main de Torm m'empêcha de céder à ces basses passions. Mais je me demande tout de même si elle n'a pas des tendance suicidaires.
Finalement, nous rendîmes à son tuteur (non sans le passage au détecteur du mal. C'est très pratique, cette histoire d'alignements gravés dans la pierre) la jeune demoiselle, avant de faire un petit passage par la guilde des voleurs. L'heure était venue de commencer les choses sérieuses.
-Bon, avant toute chose, ca ne pose de problème à personne, hein?
Cinq mains se lèvent.
-Dommage, on le fait quand même.
Aran Linvail ne perdit pas temps avant de nous envoyer faire ses comissions à son tour, une histoire de chargement à garder... Voyons, faut y aller la nuit pour que les vampires aient le droit d'attaquer? Malin, comme organisation, les gars... Enfin, apparemment, ils n'ont pas besoin de mes conseils, juste de mes muscles. Encore une brillante carrière de stratège hors pair tuée dans l'oeuf. Je fis la connaissance de Mook, juste le temps qu'elle se fasse tuer. Je pense que finalement, les présentations étaient pas vraiment nécessaires. Et le vampire se révéla un lâche ne restant même pas donner les XP règlementaires.
Heureusement, ça, se fut le boulot d'Aran, qui pour la peine nous donna notre deuxième mission. Mais ca, on le fera plus tard, là, j'ai la flemme. En attendant, nous retournâmes au Coeur Radieux. D'abord parce qu'Anomen y était appelé, et ensuite parce que j'avais toujours à rendre compte de ma dernière mission. Bon, la cérémonie d'adoubement dura trois secondes, et nous sommes maintenant une équipe composée de moitié de membres de l'Ordre. Qui dit mieux? Ensuite, le vieux me donnant mes ordres à du fumer quelque chose.
-Bon, alors, écuyer, maintenant... euh... voyons voir ma liste... tuer un dragon. Ouais, c'est ça, la prochaine étape.
-Hein? Vous donnez ce boulot à tous vos écuyers?
-Oui.
-Keldorn, t'as fait ça?
-... J'ai eu une dispense.
-Et le Prélat?
-l n'a pas trouvé de dragon, alors on a fait comme si.
-Et tout ceux ici?
-Z'ont fait un don aux bonnes oeuvres à la place.
-Ok, je fais le don.
-Ouais sauf que non. On a insisté depuis deux ans pour faire appliquer strictement la règle.
-Combien de succès?
-Euh... sur 346... Une réussite. Il a tendu une embuscade à un bébé en train de sortir de son oeuf.
-...
Bon, je crois qu'on va attendre un peu, avant de régler cette histoire... La patience n'est elle pas une vertu? a la place, nous passa mes régler la nouvelle affaire de famille, celle de Keldorn, ce coup ci. Maintenant, je fais agent matrimonial, je suis trop fort. Après beaucoup de pleurs, de larmes et d'embrassades (bon, pas tant que ca en fait), le vieux paladin à réussi à m'arracher un jour de congé. Non payé. En y réfléchissant un peu, je me rends compte que je suis pire qu'un patron capitaliste faisant trimer des asiatiques dans des usines textiles. Et le plus drôle, c'est que j'ai pas de syndicalistes sur le dos. J'adore ma vie.